D’une thèse l’autre

Partant du constat qu’Edmond Ortigues a repris en 1959, dans sa thèse complémentaire de philosophie, plusieurs éléments de sa thèse de théologie de 1948, et qu’il l’a fait en insistant (notamment dans le titre) sur la place du nominalisme, l’étude entend mettre au jour le rôle que joue ce courant de...

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Auteur principal: Grellard, Christophe (Auteur)
Type de support: Électronique Article
Langue:Français
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Fernleihe:Fernleihe für die Fachinformationsdienste
Publié: Ed. de l'Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales 2016
Dans: Archives de sciences sociales des religions
Année: 2016, Volume: 173, Pages: 131-144
Sujets non-standardisés:B Nominalisme
B puissance divine
B Ecclésiologie
B contingence
B historicité
Accès en ligne: Accès probablement gratuit
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Description
Résumé:Partant du constat qu’Edmond Ortigues a repris en 1959, dans sa thèse complémentaire de philosophie, plusieurs éléments de sa thèse de théologie de 1948, et qu’il l’a fait en insistant (notamment dans le titre) sur la place du nominalisme, l’étude entend mettre au jour le rôle que joue ce courant de pensée dans la philosophie d’Ortigues. Alors que la thèse de 1948 s’inscrit encore dans une perspective néothomiste qui juge négativement et sévèrement le nominalisme, la prise en compte de nouveaux travaux permet en 1959 de mettre au jour le rôle du nominalisme dans l’introduction de la contingence au sein de l’ecclésiologie et la mise en évidence d’une historicité du salut.
ISSN:1777-5825
Contient:Enthalten in: Archives de sciences sociales des religions
Persistent identifiers:DOI: 10.4000/assr.27579