Médiation funéraire en Mongolie

À la fin du xvie siècle, le clergé bouddhique interdit d’adresser de la nourriture sacrificielle aux morts. Aujourd’hui, en contexte postcommuniste de tolérance religieuse où se mêlent des éléments bouddhiques et chamaniques, des familles bouddhistes mobilisent de nouvelles techniques de médiation e...

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Bibliographische Detailangaben
1. VerfasserIn: Ruhlmann, Sandrine (VerfasserIn)
Medienart: Elektronisch Aufsatz
Sprache:Französisch
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Veröffentlicht: Ed. de l'Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales 2016
In: Archives de sciences sociales des religions
Jahr: 2016, Band: 174, Seiten: 75-100
weitere Schlagwörter:B postcommunisme
B Bouddhisme
B Chamanisme
B Communisme
B Âme
B funérailles
Online Zugang: Vermutlich kostenfreier Zugang
Volltext (lizenzpflichtig)
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Beschreibung
Zusammenfassung:À la fin du xvie siècle, le clergé bouddhique interdit d’adresser de la nourriture sacrificielle aux morts. Aujourd’hui, en contexte postcommuniste de tolérance religieuse où se mêlent des éléments bouddhiques et chamaniques, des familles bouddhistes mobilisent de nouvelles techniques de médiation et de nouveaux artefacts pour instaurer une relation avec les morts. Elles fabriquent des objets (cercueil, yourte miniature), manipulent des matières (bois, tissus, métal) et partagent des substances (nourriture) pour favoriser la bonne renaissance des âmes des morts et entretenir de bonnes relations avec elles. L’analyse praxéologique déployée se fonde sur des descriptions ethnographiques de type monographique, des schémas et des photographies des médiations funéraires contemporaines mongoles.
ISSN:1777-5825
Enthält:Enthalten in: Archives de sciences sociales des religions
Persistent identifiers:DOI: 10.4000/assr.27722