Care beyond autonomy: the recognition of our vulnerable capabilities

L'usage de la catégorie de vulnérabilité s'est multiplié dans les textes internationaux de bioéthique et de sciences sociales. Etre vulnérable peut qualifier tout être mortel, mais aussi les êtres privés d'agentivité ou de droits ce qui en fait une notion ambiguë que nous voudrions co...

Ausführliche Beschreibung

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Bibliographische Detailangaben
1. VerfasserIn: Botbol-Baum, Mylène 1959- (VerfasserIn)
Medienart: Elektronisch Aufsatz
Sprache:Englisch
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Veröffentlicht: Éditions ESKA [2016]
In: Journal international de bioéthique et d'éthique des sciences
Jahr: 2016, Band: 27, Heft: 3, Seiten: 35-52
RelBib Classification:NBE Anthropologie
NCH Medizinische Ethik
VA Philosophie
weitere Schlagwörter:B Justice
B Qualité des soins
B Principe éthique
B Vulnerable Populations
B Population vulnérable
B Autonomie
B Éthique clinique
B Ethical principles
B Moral Philosophy
B Philosophie morale
B Autonomy
B Quality of Health Care
B clinical ethics
Online Zugang: Volltext (Verlag)
Beschreibung
Zusammenfassung:L'usage de la catégorie de vulnérabilité s'est multiplié dans les textes internationaux de bioéthique et de sciences sociales. Etre vulnérable peut qualifier tout être mortel, mais aussi les êtres privés d'agentivité ou de droits ce qui en fait une notion ambiguë que nous voudrions confronté aux notions de care et de capacités mais aussi de reconnaissance afin de donner de la profondeur anthropologique à la notion afin d'en faire un concept bioéthique pertinent pour penser l'exploitation ou l'abus de catégories souvent stigmatisées comme vulnérables. Le lien entre les théories du care, de capacité et de reconnaissance enrichissent le débat. Nous poserons que la vulnérabilité ne doit pas, d'un point de vue anthropologique être liée à la dépendance ou à l'exploitation.
The use of the category of vulnerability has been multiplied in moral philosophy social sciences and bioethics. Being vulnerable can refer rhetorically to all mortal agents, but also to those lacking agency which makes of it a very ambiguous notion. The notion of vulnerability is part of everyday language and is mostly perceived as a determination which limits our aspirations to autonomy. Why has it become a notion a bioethical principle or concept per se? Historically, anthropology of the vulnerable subject is needed and can be found in the work of Nussbaum and Honneth which could be used in bioethical discourse. The link between care theory and capability of recognition theories developed by Sen and Nussbaum, enrich the picture. Vulnerability we will argue does not have to be from an anthropological point of view, exposition to dependence and exploitation.
ISSN:2608-1008
Enthält:Enthalten in: Journal international de bioéthique et d'éthique des sciences