À propos de l'indissolubilité du mariagé chrétien

Le concile Vatican II présente le mariage « comme une communauté profonde de vie et d'amour conjugal» « ordonnée par sa nature même à la procréation et à l'éducation ». Sans renoncer aux données institutionnelles, la doctrine conciliaire remet « dans une meilleure lumière» la dimension sub...

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Auteur principal: Bernhard, Jean 1914-2006 (Auteur)
Type de support: Numérique/imprimé Article
Langue:Français
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Publié: Palais Universitaire [1970]
Dans: Revue des sciences religieuses
Année: 1970, Volume: 44, Numéro: 1/2, Pages: 49-62
Sujets non-standardisés:B Marriage; Religious aspects; Christianity; Catholic Church
B Marriage (Canon law)
Accès en ligne: Volltext (kostenfrei)
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Description
Résumé:Le concile Vatican II présente le mariage « comme une communauté profonde de vie et d'amour conjugal» « ordonnée par sa nature même à la procréation et à l'éducation ». Sans renoncer aux données institutionnelles, la doctrine conciliaire remet « dans une meilleure lumière» la dimension subjective du mariage. Cette conception personnaliste de l'amour conjugal ne nous invite-t-elle pas à réviser la notion canonique actuelle de mariage sacramentel consommé (on sait que l'Église considère un tel mariage comme absolument indissoluble) ? D'autres arguments sont esquissés : ils concernent surtout le fondement et la formation de la notion actuelle. — Projet de réforme : le mariage serait considéré comme consommé, lorsque les époux auraient conduit l'amour conjugal à un certain achèvement humain et chrétien.
ISSN:0035-2217
Contient:Enthalten in: Revue des sciences religieuses
Persistent identifiers:DOI: 10.3406/rscir.1970.2577