Le réalisme spéculatif à l'épreuve de la donation

Bien qu’il ne soit cité explicitement qu’une seule fois dans Après la finitude, Jean-Luc Marion apparaît comme l’une des cibles privilégiées de la démonstration de Meillassoux. Il l’est non seulement à titre de phénoménologue ayant réduit le dehors à un dehors claustral sans véritable ailleurs ; il...

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Auteur principal: Vinolo, Stéphane 1976- (Auteur)
Type de support: Électronique Article
Langue:Français
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Fernleihe:Fernleihe für die Fachinformationsdienste
Publié: Univ. 2014
Dans: ThéoRèmes
Année: 2014, Volume: 6
Sujets non-standardisés:B Donation
B Meillassoux
B Phénoménologie
B réalisme spéculatif
B Marion
B extériorité
Accès en ligne: Volltext (lizenzpflichtig)
Volltext (lizenzpflichtig)
Informations sur les droits:CC BY-NC-ND 4.0
Description
Résumé:Bien qu’il ne soit cité explicitement qu’une seule fois dans Après la finitude, Jean-Luc Marion apparaît comme l’une des cibles privilégiées de la démonstration de Meillassoux. Il l’est non seulement à titre de phénoménologue ayant réduit le dehors à un dehors claustral sans véritable ailleurs ; il l’est en plus en tant que paradigme des penseurs qui ont fermé tout accès rationnel à Dieu. Pourtant, en pensant une donation non-réciproque, Marion pourrait bien s’arracher à la corrélation et poser un Grand dehors, absolutoire plus qu’absolu. En utilisant Descartes comme pont entre Quentin Meillassoux et Jean-Luc Marion, nous nous proposons de montrer que le réalisme spéculatif est moins éloigné qu’il ne le pense de la phénoménologie de la donation.
ISSN:1664-0136
Contient:Enthalten in: ThéoRèmes
Persistent identifiers:DOI: 10.4000/theoremes.643